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« Ce receuil n° 55 contient l'explication en françois de la langue patoise des Cevenes et traductions de plusieurs ouvrages en patois ».

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Modifié le : 24/12/2024

Présentation globale de la collection

Etablissement de conservation
Bibliothèque Carré d'Art. Nîmes, (Gard) Voir tous les inventaires
Tous les inventaires
Intitulé de l'instrument de recherche Catalogue des manuscrits de la bibliothèque Carré d'art de Nîmes
Sous-titre Manuscrits et recueils de Jean-François Séguier
Cote Diverses entre Ms_29-538
Titre Manuscrits et recueils de Jean-François Séguierlien
Origine Jean-François Séguier
Date XIIe-XVIIIe siècle
Langue françaislatinitaliengrec ancien (jusqu'à 1453)espagnolarabeanglaishébreu
Support papier
Support parchemin
Importance matérielle 111 vol. reliés ; 36 cahiers ; 14 liasses ; 23447 f. dont 1407 blancs et 952 imprimés
Importance matérielle 3822 lettres ; 2364 pièces ou collection de pièces diverses
Biographie ou histoire

Né à Nîmes le 25 novembre 1703, Jean-François Séguier montra dès l'enfance un goût extraordinaire pour la numismatique et l'archéologie. Destiné à la magistrature par son père, conseiller au présidial, il renonça promptement aux études juridiques ; le passage du marquis Scipione Maffei à Nîmes en 1732 lui fournit l'occasion de satisfaire ses penchants. Ses parents, vaincus par ses instances, lui permirent de s'attacher au célèbre antiquaire, à la suite duquel il parcourut la France, la Hollande, l'Allemagne et l'Italie. Fixé plus tard auprès de son ami à Vérone, il s'appliqua avec succès à l'étude de l'épigraphie et des sciences naturelles, et prit une part considérable à quelques-unes des principales publications du grand seigneur italien. La mort de Maffei en 1755 le décida à revenir dans sa ville natale ; il y rapportait après une absence de vingt-trois ans des matériaux nombreux pour le grand ouvrage d'épigraphie qu'il comptait publier. Déjà en correspondance avec les savants de toute l'Europe, il sut conserver et étendre ces relations, encourager les études épigraphiques autour de lui, et ranimer par son exemple l'activité de l'Académie de Nîmes. Quand il mourut le 1er septembre 1784, il était l'un des personnages les plus considérables de l'Europe savante. Malheureusement il n'avait pu, faute de temps, publier le grand travail qui devait légitimer et rendre durable sa réputation ; comme beaucoup de savants du XVIIIe siècle, il avait gaspillé son temps et ses forces, et l'ouvrage d'épigraphie que dès 1774 il voulait mettre sous presse restait inédit. Aussi sa renommée, très grande de son vivant, a-t-elle peu duré, et ses travaux manuscrits, vieillis et dépassés, ne sont plus consultés qu'à titre de renseignements. (extrait de l'introduction de la 1ère édition du Catalogue par Molinier)

L'abbé René Séguier (1705-1767), frère de Jean-François, prieur curé de Saint-Jean-de-Valériscle (village cévenol) etait aussi lettré et philosophe. Il a laissé des poésies en patois cévenol et languedocien, une grammaire et un dictionnaire de la langue provençale, enfin beaucoup de menus opuscules d'histoire naturelle, de littérature et de grammaire. L'abbé Séguier étant mort en 1776, c'est son frère, Jean-François, qui a classé ses papiers et les a légués à l'Académie de Nîmes.

Présentation du contenu

Travaux et papiers personnels de Jean-François Séguier (histoire, archéologie, astronomie, botanique, mathématiques, bibliographie).

Correspondance. Connu de la plupart des savants du temps, Séguier entretenait avec eux une active correspondance, et les lettres reçues par lui, lettres qu'accompagnent souvent les minutes du savant antiquaire, ne sont pas la partie la moins intéressante de sa bibliothèque. On y trouvera une quantité énorme d'autographes des meilleurs antiquaires français et étrangers du XVIIIe siècle et de précieux documents pour l'histoire littéraire de ce temps.

Manucrits copiés par lui et autres recueils composés par lui contenant des pièces dont il est l'auteur ou le copiste.

Manuscrits de son frère René Séguier.

Modalités d'acquisition Par un testament daté de 1778, Séguier avait légué ses livres, ses manuscrits, ses médailles et sa maison à l'Académie de Nîmes, sous la condition expresse d'ouvrir ces collections au public. Cette condition fut remplie, et au début de la Révolution, lorsque les compagnies littéraires furent dépouillées de leurs livres, cette bibliothèque devint le noyau de celle de Nîmes
Conditions d'accès L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable.
Conditions d'utilisation Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.
Citer sous la forme Bibliothèque Carré d'art de Nîmes, Ms. X, fol. Y.

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Bibliothèque Carré d'art de Nîmes
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2020
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-301896101-ab4
Présentation du contenu
Cote Ms_29-360
Titre Manucrits René Séguier.
Date XVIIIe siècle
Support papier
Importance matérielle 13 vol. reliés ; 1 liasse ; 3574 f. dont 404 blancs et 12 imprimés
Catalogue général des manuscrits
Description du contenu
Cote :  Ms_281 Ancienne cote :  3039 Importance matérielle :  1 vol. relié ; 130 f. dont 54 blancs Dimensions  20 cm Présentation du contenu : 

Recueil 55 de Séguier. Titre de la main de l'abbé Séguier.

On y remarque notamment des mémoires sur la langue cévenole, et un dictionnaire de cette langue ; " les mots sont rangés sans aucun ordre. — Une partie de ce dictionnaire a été publiée en 1879 par J. Bauquier, sous forme de supplément au dictionnaire languedocien-français de d'Hombres (Revue des langues romanes, 3e série, t. II (1879), pp. 297-300). — Aux feuillets 40-51, le morceau suivant : « L'esclipse dou souleu en 1706, pouème burlesque, de Mr Coye, d'Arles. » Autre titre du même poème : « L'evanouissamen de Phebus, ou l'esclipse dou souleu en 1706, pouème burlesque. » — Ce manuscrit est l'œuvre de l'abbé René Séguier et de sa main. — Voir à ce sujet, François Pugnère et Claire Torreilles, Ecrire en Cévennes au XVIIIe siècle : les oeuvres de l'abbé Séguier - Montpellier, 2013.

Cote Ms_281
Ancienne cote 3039
Titre « Ce receuil n° 55 contient l'explication en françois de la langue patoise des Cevenes et traductions de plusieurs ouvrages en patois ».
Date XVIIIe siècle
Langue français, occitan
Importance matérielle 1 vol. relié ; 130 f. dont 54 blancs
Dimensions 20 cm
Présentation du contenu

Recueil 55 de Séguier. Titre de la main de l'abbé Séguier.

On y remarque notamment des mémoires sur la langue cévenole, et un dictionnaire de cette langue ; " les mots sont rangés sans aucun ordre. — Une partie de ce dictionnaire a été publiée en 1879 par J. Bauquier, sous forme de supplément au dictionnaire languedocien-français de d'Hombres (Revue des langues romanes, 3e série, t. II (1879), pp. 297-300). — Aux feuillets 40-51, le morceau suivant : « L'esclipse dou souleu en 1706, pouème burlesque, de Mr Coye, d'Arles. » Autre titre du même poème : « L'evanouissamen de Phebus, ou l'esclipse dou souleu en 1706, pouème burlesque. » — Ce manuscrit est l'œuvre de l'abbé René Séguier et de sa main. — Voir à ce sujet, François Pugnère et Claire Torreilles, Ecrire en Cévennes au XVIIIe siècle : les oeuvres de l'abbé Séguier - Montpellier, 2013.

Index

René Séguierlien[Auteur]  - Dictionnaire du patois cévenol Dictionnaire du patois cévenol

Jean-Baptiste Coyelien[Auteur]  - L'evanouissamen de Phebus L'evanouissamen de Phebus

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