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Fonds Alain Recoing

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Modifié le : 25/05/2022

Présentation globale de la collection

Etablissement de conservation
Institut international de la marionnette. Centre de documentation. Charleville-Mézières, Ardennes
Intitulé de l'instrument de recherche Institut International de la Marionnette, inventaire du fonds Alain Recoing
Cote REC A1 à Z
Titre Fonds Alain Recoing
Date 1945-2012
Langue Le fonds Alain Recoing comporte majoritairement des documents de langue française. On y trouve néanmoins quelques documents en italien, roumain, allemand, tchèque et anglais ; il s’agit principalement de documentation liée aux lieux dans lesquels Alain Recoing s’est produit.
Importance matérielle 25 mètres linéaires
Caractéristiques matérielles et contraintes techniques Les documents concernant la documentation rassemblée par Alain Recoing et les archives photographiques et audiovisuelles n’étant pas encore classés, ceux-ci ne sont pas encore consultables
Biographie ou histoire Né en 1924 à Montmorency, Alain Recoinglien ne se prédestine pas en premier lieu aux arts de la marionnette. Après des études de philosophie avortées entre 1945 et 1947, c’est par l’intermédiaire de son ami Maurice Garrellien qu’il fait une première rencontre avec ce milieu. À la recherche d’un assistant pour son Théâtre de marionnettes à la française, Gaston Batylien embauche ainsi Alain Recoing comme assistant en 1948. C’est sous l’aile de celui qu’il appelle « Le Maître » qu’il apprend les fondamentaux du métier de marionnettiste. Il y joua son premier grand rôle en incarnant Faustlien dans la pièce du même nom, qu’il représenta en tournée en Allemagne.
La santé de Gaston Baty déclinant, celui-ci dissout sa troupe en 1949.
Grâce au marionnettiste Francis Raphard, Alain Recoing s’oriente alors vers la publicité en présentant des spectacles de marionnettes dans les foires pour le compte de compagnies. Il présente ensuite une parade de marionnettes lors des expositions itinérantes pour le plan Marshall, qui le conduit à travers l’Europe, de la Suède à la Sicile. Après l’annulation de l’exposition, Alain Recoing fonde avec ses amis Maurice Garrel et Claude-André Messin la compagnie des Trois en 1950, où ceux-ci connurent le succès dans les cabarets durant deux ans grâce à des spectacles comme Quatre cadavres et un week-end. L’année 1953 est marquée par deux événements majeurs pour Alain Recoing : d’une part son mariage avec Maryse Le Brislien, qui lui confectionnera par la suite la majorité des marionnettes de ses spectacles. D’autre part, il est engagé par l’O.R.T.F. pour réaliser un nouveau programme de spectacles de marionnettes pour enfants, avec dans les rôles-titres les personnages du beffroi de Cambrai Martin et Martine. Le succès de l’émission permet à Alain Recoing de mettre en place d’autres émissions pour l’O.R.T.F. telles que Une aventure de Fanfan La Tulipe et Nicolas au pôle Nord. L’émission dure jusqu’en 1957, période où il fonde sa propre compagnie, le « Théâtre Martin-Martine », et où il monte en collaboration avec Antoine Vitez La clef d’or au Théâtre du Vieux Colombierlien.
Entre-temps, Alain Recoing devient en 1956 secrétaire général du Syndicat national des arts de la marionnette et de l’animationlien. C’est grâce à ce titre qu’il est invité au premier festival international de marionnettes de Bucarest en 1958 à être membre du jury. Le succès rencontré par les compagnies françaises d’Yves Jolylien et d’André Tahonlien lors du festival permet de mettre en place des spectacles de marionnettes au Théâtre des Nationslien. C’est aussi à cette occasion qu’il rencontre Margareta Niculesculien, directrice du Théâtre Tandarica de Bucarest, marquant le début d’une longue amitié épistolaire. Dans la prolongation de cet événement, on assiste à la naissance du premier festival de la marionnette à Charleville-Mézières sous l’impulsion de Jacques Félix. Alain Recoing finit par démissionner en 1966 du secrétariat, au moment où se tint le troisième congrès national des marionnettistes. Le syndicat est dissout à l’occasion des événements de mai 1968, avant de voir deux ans plus tard la naissance du Centre National des Marionnettes où Alain Recoing occupera la fonction de président.
Les années 1960-1974 permettent pour la compagnie d’Alain Recoing de rencontrer le succès avec des spectacles pour enfants. Il y perçoit le côté éducatif que peut apporter la marionnette auprès du jeune public, comme en témoigne son spectacle Mouton-Pelote créée en 1974 avec Maryse Le Bris. Cependant, les revenus sont souvent faibles, obligeant la multiplication des représentations au détriment de la création artistique. En parallèle, un premier partenariat se met en place avec le Théâtre Quotidien de Marseille suite à l’arrivée en 1959 d’Antoine Vitezlien. La nomination d’Antoine Vitez à la direction du Théâtre des quartiers d’Ivrylien (T.Q.I.) en 1972 est une nouvelle étape décisive pour la troupe d’Alain Recoing. Le T.Q.I. prend alors en charge l’administration de sa compagnie jusqu’en 1981.
L’année 1975 s’avère être également un tournant pour sa compagnie, moment où Françoise Vuillaumelien, qui dirige le théâtre Paul Éluardlien à Choisy-le-Roi, passe commande d’un spectacle de marionnettes pour adultes, fait assez rare pour l’époque. C’est ainsi qu’est créé La ballade de Mister Punch en 1976, qui connait un grand succès et qui sera repris l’année suivante sous une forme écourtée avec Punch and Judy, puis sous une autre forme lors de la tournée en Afrique sous le nom Punch et le serpent arc-en-ciel. Ce succès lui ouvre également la porte à des créations plus adultes dans les années qui suivent. La compagnie prend alors le nom de «Théâtre aux Mains Nueslien » (T.M.N.), nom toujours utilisé aujourd’hui.
L’année 1981 voit la nomination d’Antoine Vitez au Théâtre national de Chaillotlien. Cette période va mettre en exergue les divergences d’opinions concernant la marionnette entre les deux amis de longue date, ce qui ne les empêche pas cependant de renouveler leur collaboration avec notamment le spectacle La tentation de Saint-Antoine mis en scène par Alain Recoing à Chaillot en 1982. Devant quitter le T.Q.I., la compagnie d’Alain Recoing prend donc le statut d’association loi 1901 en 1981, tandis que sa compagnie reçoit désormais une subvention hors commission, en reconnaissance de son apport pour les arts de la marionnette. La collaboration avec son fils et auteur Éloi Recoinglien, entamée avec La ballade de Mister Punch, se poursuit dans les années 1980 avec Le grand-père fou, La conjecture de Babel mais surtout Manipulsations en 1984, qui valu à celui-ci le prix de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (S.A.C.D.) lors du festival off d’Avignon. Alain Recoing ajoute également d’autres cordes à son arc en mélangeant théâtre de marionnettes et opéra avec la pièce Les tréteaux de maître Pierre créée à l’opéra d’Hambourg en 1980, ou encore lors de la création franco-indonésienne de la pièce Le voyage spirituel de Gilgamesh en 1988.
En parallèle, les activités militantes d’Alain Recoing se poursuivent. Prévu de longue date, le projet de création d’un théâtre permanent consacré à la marionnette à Paris lui est confié en 1989. Malgré l’appui de personnalités politiques et les opportunités qui s’offrent à lui dans les années 1990, celui-ci ne se concrétise pas. Cette période le voit également débuter une carrière d’enseignant, avec les cours et l’animation de stages donnés à l’École Nationale Supérieure des Arts de la Marionnettelien(E.S.N.A.M.) entre 1987 et 1999, ou encore la direction d’une U.V. marionnette dans le cadre de la licence de l’Institut d’études théâtrales de Paris III entre 1989 et 1995. Souhaitant développer la question du compagnonnage, ce dernier ouvre alors des ateliers professionnels de formation de l’acteur-marionnettiste au T.M.N., et s’installe dans le quartier Saint-Blaise à Paris à partir de 1997. Puis vient en 2001 l’ouverture d’une salle d’art et d’essai au T.M.N.
Afin de récompenser son engagement en faveur des arts de la marionnette, Alain Recoing se voit décerner en 2008 le grade de commandeur des arts et des lettres, puis le prix international de la transmission en 2011 par l’Institut International de la Marionnettelien pour son activité pédagogique envers les jeunes. 
Il publie ses mémoires en 2011 sous le titre Les mémoires improvisées d’un montreur de marionnettes.Alain Recoing décède à Paris dans la nuit du 14 au 15 novembre 2013.
Présentation du contenu L’étude de ce fonds à travers la correspondance permet déjà de retracer les grandes étapes de sa vie de marionnettiste. De nombreux documents font référence à la télévision dans les années 1950, liés bien entendu à l’émission Martin-Martine ; d’autres sur les représentations dans les milieux scolaires dans les années 1960-1970. La présence de rapports annuels d’activités dans la correspondance, liés aux demandes de subventions faites auprès du Ministère de la Culture pour les compagnies successives d’Alain Recoing, s’avère particulièrement intéressante pour toute personne désireuse d’en apprendre plus sur ces compagnies de manière générale (investissement, nombre de représentations, difficultés rencontrées en cours d’année, etc.).
De nombreux sujets y sont abordés, mais on y trouve principalement les activités inhérentes à la gestion d’une compagnie : gestion du budget, du calendrier des représentations, devis pour des matériaux de spectacle. De plus, la correspondance est particulièrement fournie vers le milieu et la fin des années 1970, avec un nombre conséquent de lettres de structures culturelles et établissements d’enseignement cherchant à obtenir des renseignements sur les spectacles et leur organisation au sein de la compagnie d’Alain Recoing. On constate, lors de l’étude de celle-ci, de l’évolution des structures qui accueillent les spectacles de la compagnie d’Alain Recoing. On passe ainsi d’établissements d’enseignements aux structures de la décentralisation comme les maisons de la culture ou les centres culturels, bénéficiant de moyens plus importants grâce aux subventions. Pour les documents consacrés à sa carrière, les sous-parties se concentrant sur les spectacles auxquels Alain Recoing a participé rassemblent en majorité des documents sous trois thématiques :
- Le processus de création : on y trouve les ouvrages qui ont servi pour créer la pièce, des notes sur la mise en scène ou l’écriture de la pièce, ou encore les textes de ces pièces.
- La gestion administrative : ce sont principalement des lettres ou des contrats passés avec d’autres structures pour faire des représentations, ou encore des documents comptables sur celles-ci comme les devis.
- La promotion et la publicité : il s’agit ici des programmes, brochures, dépliants, textes de présentation et presse sur le spectacle concerné.
Alain Recoing a, au cours de sa carrière, été attaché à de nombreux projets. C’est pourquoi on retrouve dans ce fonds de nombreuses photocopies de pièces ou d’ouvrages ayant servi à ses recherches documentaires ou ses écrits, ou qui lui ont été envoyés par d’autres pour une éventuelle adaptation. La richesse et la diversité des documents sur la marionnette se trouvant dans la partie « Documentation générale » est la preuve du nombre important de pièces que celui-ci a accumulé durant son existence.
De part ses multiples casquettes, l’intérêt de ce fonds réside également dans les nombreuses thématiques évoquées à travers le prisme de la marionnette grâce aux multiples rôles qu’Alain Recoing a pu avoir dans sa carrière. Par exemple, avec celui de directeur de compagnie et d’association, où l’on va notamment trouver des documents administratifs sur la gestion de celles-ci, notamment des documents comptables ; celui de militant, où l’on peut consulter des documents essentiels sur la reconnaissance du métier de marionnettiste comme le rapport Brajot ; et enfin, celui de pédagogue, avec des documents sur ses activités en milieu scolaire, à Paris III ou encore à l’Institut International de la Marionnette.
Classement Une partie du fonds a fait l’objet d’un pré-classement en 1998 par Renaud Herbin. Les choix réalisés lors de ce classement ont été conservés. La description se fait à la pièce, hormis quelques cas particuliers. Pour des raisons pratiques, les documents ont été regroupés selon un mode de classement pré-établi ; la correspondance a ainsi été cotée au millésime. Un numéro a ensuite été attribué et indiqué directement sur le document. L’indexation a été réalisée en prenant en compte le sujet spécifique du fonds, la marionnette. Le thésaurus du SIAF étant trop global pour l’indexation des mots-matière, le thésaurus de l’Institut International de la Marionnette et de la BnF viennent donc combler ce manque. Le choix a été fait d’intégrer la cote provisoire, le numéro de versement et le propriétaire du fonds dans la cote définitive. Elle se décompose de cette manière : 
[IIM_1_] REC_J-1-2-11 (IIM : propriétaire du fonds ; 1 : n° de versement ; REC : trois premières lettres de Recoing ; J-1-2-11 : cotation, avec les différents niveaux établis selon le plan de classement)
Pour la correspondance, certaines lettres ont été regroupées lorsqu’elles provenaient d’une même conversation. Afin d’éviter de retirer toute compréhension à la correspondance en elle-même, les pièces jointes qui y sont associées ont donc été laissées avec celle-ci. Il est ainsi possible de retrouver des documents autres que de la correspondance dans cette partie, comme des contrats, programmes ou des pièces comptables. On trouvera par exemple des pièces relatives à des demandes d’attribution de subvention pour la compagnie de marionnettes d’Alain Recoing, comme des rapports d'activités, des budgets prévisionnels, etc. La partie qui comprenait les spectacles dans l’inventaire de Renaud Herbin a été restructurée pour former quatre ensembles : les pièces dont Alain Recoing n’a joué que le rôle d’interprète, les pièces montées spécialement pour la télévision, celles dont Alain Recoing a été metteur en scène, et enfin les projets inaboutis. La distinction entre les projets inaboutis et les textes non adaptés par Alain Recoing vient de l’état d’avancement du projet. Pour les projets inaboutis, on va généralement trouver d’autres documents permettant d’affirmer que le projet était engagé. Pour les textes non adaptés par Alain Recoing, on trouve une simple lettre de l’auteur voir même seulement le texte.
Lors du classement, de nombreux textes de pièces et d’ouvrages ont été retrouvés sans pouvoir identifier formellement le contexte de création et/ou production. Après consultation d’Éloi Recoing, ceux-ci ont été divisés en cinq catégories, avant d’être intégrés au plan de classement :
- Textes de pièces envoyés à Alain Recoing pour être mis en scène
- Textes de pièces servant aux ateliers de formation du Théâtre aux Mains Nues
- Textes de pièces montés au Théâtre aux Mains Nues (sans participation d’Alain Recoing à la création de celle-ci)
- Textes de pièces dont le contexte de création n’a pu être identifié
- Textes de pièces envoyés comme simple documentation
Pour ce qui est des écrits d’Alain Recoing concernant la marionnette, le choix a été fait de mettre en avant les deux articles « Histoire des marionnettes en Europe » paru dans l'ouvrage « Histoires des spectacles » de Guy Dumur et l’article sur Punch et Judy paru dans l’ouvrage « Les marionnettes » de Paul Fournel car on y retrouve les originaux et les notes de travail d’Alain Recoing, à la différence de ses autres publications où l’on trouve généralement une simple photocopie de l’article. La partie concernant Alain Recoing en tant que directeur a été divisée en deux ensembles. Celle-ci résulte du changement de statut du Théâtre aux Mains Nues en 1981, qui passe alors d’une compagnie administrée par le Théâtre des quartiers d’Ivry à une association autonome. Le classement des archives de l’association Théâtre aux Mains Nues a été fait selon le modèle utilisé pour les archives associatives tel que présenté dans l’abrégé d’archivistique de 2013. Les archives relatives à THEMAA et l'UNIMA n’ont pas été intégrées à la partie concernant les activités militantes d’Alain Recoing pour plusieurs raisons. En effet, Alain Recoing a été président du Centre National des Marionnettes, contrairement aux deux structures précitées. On trouve alors de nombreux documents sur son activité au sein de cette structure. Les documents provenant de THEMAA et de l’UNIMA ne sont que des documents servant pour la communication interne ou externe de ces organismes, tels que des bulletins et des lettres d’information. Ils ont donc été classés dans la partie consacrée aux associations dans la partie « Documentation générale sur les marionnettes ».
Enfin, les archives témoignant de l’activité pédagogique d’Alain Recoing ont été classées par niveau d’enseignement et/ou par type de structure, comme le montre le plan de classement.
Historique de la conservation Une partie des archives étaient conservées au domicile des donateurs, l’autre partie se trouvant au local du Théâtre des Mains Nues à Paris.
Modalités d'acquisition Une première convention de don a été signée le 30 avril 2003 entre Le Théâtre aux Mains Nues, représenté par Alain Recoing, et l’Institut International de la Marionnette, représenté par son président de l’époque, Jacques Félix. Il est ainsi précisé qu’Alain Recoing fait don de ses archives concernant « son activité professionnelle et de création artistique ». Le fonds est arrivé à l’Institut International de la Marionnette en trois fois : un premier versement est effectué en 1994 par Alain Recoing lui-même, constituant la majorité des documents se trouvant dans ce fonds ; une seconde entrée avec les documents d’Alain Recoing provenant du Théâtre aux Mains Nues ; enfin, un dernier versement est effectué par Maryse Le Bris, épouse d’Alain Recoing.
Informations sur l'évaluation Le fonds rassemblant une part importante de dépliants, tracts, brochures sur les spectacles, le choix a été fait de n’en conserver que trois exemplaires, le reste étant mis de côté dans un carton à part. Les éliminations ont porté sur les documents vierges, incomplets (lorsque l’on dispose de l’original complet en bon état), ou sur les photocopies lorsque le document original a été reproduit en de nombreux exemplaires.
Informations sur le traitement Boîtes en carton neutre, pochette à 4 rabats et chemises souples en papier permanent
Conditions d'accès L’article 4 de la 1ère convention de don stipule que le donateur autorise la communication de « tous les documents autres que ceux qui figurent sur la liste déterminée par lui ». Les documents concernant l’affaire entre Isabelle Dewintre et le Théâtre aux Mains Nues ont été jugés comme sensibles, c’est pourquoi un délai de communicabilité de 50 ans leur a été attribué. 
Conditions d'utilisation L’article 6 de la 1ère convention stipule que les droits de reproduction des documents présents dans ce fonds ont été cédés par le donateur à l’Institut International de la Marionnette. En outre, il est précisé que cette reproduction pourra s’effectuer à des fins d’édition, de recherche scientifique et d’exposition selon les procédés suivants : 
- Photographie ; imprimerie ; photocopie ; enregistrement vidéo, magnétique ou cinématographique ainsi que tous les procédés des arts graphiques.
Citer sous la forme Centre de Documentation et des Collections de l'Institut International de la Marionnette, fonds Alain Recoing

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Centre de Documentation et des Collections de l'Institut International de la Marionnette.
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2019
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-081055102-YD5
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