Accueil CCFr  >   EADC Leclair, Jean-Marielien. Sonate à deux violons, accompagnement de harpe par Aymé Kunc
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Leclair, Jean-MarieLeclair, Jean-Marie

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Modifié le : 11/02/2025
Intitulé de l'instrument de recherche Médiathèque du Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse. Fonds Kunc
Cote FL MS KUN 1-FL MS KUN 510
Titre Fonds Kunc
Date 1877-1960
Langue français
Importance matérielle environ 8 ml
Biographie ou histoire Les biographies des trois hommes sont à retrouver au niveau des sous-fonds.
Présentation du contenu Le fonds Kunc est un fonds familial, rassemblant principalement des partitions d'Aloys, de Pierre et d'Aymé Kunc. Il contient également des documents sur Cécile Piriou-Kunc et Adolphe Piriou, ainsi qu'une bibliothèque familiale, composée notamment d'ouvrages dédicacés aux soeurs et cousines de Pierre et Aymé.
Modalités d'acquisition Le fonds Kunc est un fonds familial composite, issu de trois dons : celui d'Henri Félix, petit-neveu d'Aymé Kunc, en 1987 ; celui de Kopetzki en 2007 ; et celui de François Pellecer, petit-neveu de Pierre Kunc entre 2001 et 2010.
Conditions d'accès L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable.
Conditions d'utilisation Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.
Citer sous la forme Médiathèque du Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse, fonds Aymé Kunc.

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Médiathèque du Conservatoire à Rayonnement Régional de Toulouse
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2023
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-315555106-P86
Présentation du contenu
Titre Aymé Kunc
Biographie ou histoire

Avant dernier enfant de la fratrie Kunc, Aymé est né à Toulouse le 20 janvier 1877. Il suit une première formation musicale auprès de son père à la maîtrise de la cathédrale de Toulouse. Il est ensuite inscrit au conservatoire de Toulouse, où il obtient les prix de solfège, piano et harmonie en 1895. Afin de poursuivre ses études, il rejoint cette même année le conservatoire de Paris et remporte le premier prix d'harmonie à l'unanimité. Il suit ensuite la classe de Charles Lenepveu pour la préparation du concours de Rome. Pendant ces années de formation, il obtient plusieurs prix de la Société des compositeurs de musique, ainsi que le second prix au concours de Rome avec la cantate Sémiramis en 1900. Aymé décroche finalement la première place au concours en 1902 avec Alcyone. Malgré les interdits, il est rejoint à Rome par sa fiancée Paulette Baldocchi (1870-?, née Eulalie Jeanne Pauline), cantatrice avec qui il se marie en 1907 à Paris.

Durant cette première décennie du XXe siècle, il compose des œuvres variées, tant de musique religieuse que de musique lyrique. Une de ces plus grandioses réalisations est la représentation des Esclaves aux Arènes de Béziers en 1911, mettant en scène 400 musiciens répartis en trois orchestres, 250 choristes, 60 danseurs, 8 acteurs et 4 chanteurs solistes.

En 1912 et pour deux ans, il dirige l'orchestre du théâtre Apollo à Paris, avant d'être nommé directeur du conservatoire de Toulouse à la suite de la démission de Bernard Crocé-Spinelli qui rejoint le conservatoire de Bordeaux. En parallèle à cette fonction, il compose beaucoup de pièces pour ses élèves, et des œuvres destinées à des célébrations officielles comme la Cantate pour le couronnement de Dante réalisée à l'occasion du sixième centenaire de Dante en 1921. Pendant ces trente années passées à la tête du conservatoire, il contribue à la vie musicale toulousaine en tant que chef d'orchestre de la Société des concerts du Conservatoire. Il dirige notamment la Tétralogie de Wagner au théâtre du Capitole en 1927, troisième représentation en France après Lyon et Paris. Dès 1926, il dirige également les concerts classiques de Radio Toulouse et en 1928, il est appelé à la direction de l'orchestre de l'opéra de Paris, poste qu'il refusa pour rester dans sa ville natale. Il quitte la direction du conservatoire de Toulouse en 1944.

En 1957, un concert hommage pour son 80e anniversaire est organisé au Capitole, et une année plus tard, le 15 février 1958, Aymé Kunc décède à Toulouse.

Modalités d’acquisition Sauf mention contraire, les documents de ce sous-fonds sont issus du don Henri Félix.
Autre(s) instrument(s) de recherche Cet inventaire a été construit avec l'aide du catalogue de l'Oeuvre d'Aymé Kunc établi par Emmanuel Pélaprat. Des informations complémentaires sur ses oeuvres peuvent y être trouvées, notamment sur celles absentes du fonds.
Description du contenu
Titre Oeuvres musicales
Titre Arrangements, orchestrations et autres travaux d'Aymé Kunclien
Catalogue général des manuscrits
Cote :  FL MS KUN 370
Cote FL MS KUN 370
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