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André de RichaudAndré de Richaud

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Modifié le : 15/01/2024

Présentation globale de la collection

Etablissement de conservation
Bibliothèque municipale L'Inguimbertine. Carpentras, Vaucluse Voir tous les inventaires
Tous les inventaires
Intitulé de l'instrument de recherche Catalogue des manuscrits de la bibliothèque Inguimbertine. Quatrième supplément. Fonds général
Cote 3108-3137, 3140-3319, 3347-3348, 3361-3424, 3444-3484
Titre Manuscrits de la bibliothèque Inguimbertine de Carpentras - Fonds général (8)
Langue français
Conditions d'accès L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable.
Conditions d'utilisation Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.
Citer sous la forme Bibliothèque Inguimbertine de Carpentras, Ms. X, fol. Y.

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Bibliothèque Inguimbertine de Carpentras
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2022
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-840316101-Xtf
Catalogue général des manuscrits
Présentation du contenu
Cote :  3395 Support :  Papier Importance matérielle :  1 bifeuillet Dimensions  135 x 100 mm Biographie ou histoire : André de Richaud (1907-1968) fut écrivain et poète. Il grandit dans le Comtat Venaissin. Déjà orphelin de père, tué lors de la Grande Guerre, il perdit sa mère en 1923. André de Richaud retraça son enfance et sa relation douloureuse avec sa mère dans La Douleur (Grasset 1931), roman autobiographique qui le rendit célèbre. Il s'installa à Paris, se consacra à l'écriture et publia romans, poésies, pièces de théâtre, contes et articles, dans des genres souvent entremêlés. L'essentiel de son œuvre fut publié entre 1927 et 1939, période de gloire pour André de Richaud qui suscita à la fois admiration et scandale parmi les différents cercles littéraires. Il reçut le Prix Apollinaire en 1954 Présentation du contenu : 

Extrait d'une lettre manuscrite (pages 5 à 8) adressée par André de Richaud à son éditeur Robert Morel (1922-1990)lien. Il lui explique qu'il a largement utilisé dans son roman La nuit aveuglante un récit, signé de « Petrus Borel », qu'il a lu dans un vieux journal et qui l'a marqué. Il lui demande par conséquent de s'arranger avec les héritiers à propos des droits d'auteur.

Le nom du destinataire et la date ne sont pas mentionnés dans cet extrait.

Ce bifeuillet était glissé dans un exemplaire de La nuit aveuglante, édition de 1966 par Robert Morel, conservé à la bibliothèque-musée Inguimbertine sous la cote 16° 8388 (1966). Il semble contemporain de cette réédition

Cote 3395
Titre André de Richaudlien. Lettre à son éditeur à propos de La nuit aveuglante
Date vers 1966 ?
Langue Français
Support Papier
Importance matérielle 1 bifeuillet
Dimensions 135 x 100 mm
Biographie ou histoire André de Richaud (1907-1968) fut écrivain et poète. Il grandit dans le Comtat Venaissin. Déjà orphelin de père, tué lors de la Grande Guerre, il perdit sa mère en 1923. André de Richaud retraça son enfance et sa relation douloureuse avec sa mère dans La Douleur (Grasset 1931), roman autobiographique qui le rendit célèbre. Il s'installa à Paris, se consacra à l'écriture et publia romans, poésies, pièces de théâtre, contes et articles, dans des genres souvent entremêlés. L'essentiel de son œuvre fut publié entre 1927 et 1939, période de gloire pour André de Richaud qui suscita à la fois admiration et scandale parmi les différents cercles littéraires. Il reçut le Prix Apollinaire en 1954
Présentation du contenu

Extrait d'une lettre manuscrite (pages 5 à 8) adressée par André de Richaud à son éditeur Robert Morel (1922-1990)lien. Il lui explique qu'il a largement utilisé dans son roman La nuit aveuglante un récit, signé de « Petrus Borel », qu'il a lu dans un vieux journal et qui l'a marqué. Il lui demande par conséquent de s'arranger avec les héritiers à propos des droits d'auteur.

Le nom du destinataire et la date ne sont pas mentionnés dans cet extrait.

Ce bifeuillet était glissé dans un exemplaire de La nuit aveuglante, édition de 1966 par Robert Morel, conservé à la bibliothèque-musée Inguimbertine sous la cote 16° 8388 (1966). Il semble contemporain de cette réédition

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