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Avril-août 1927

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Modifié le : 15/01/2021

Présentation globale de la collection

Etablissement de conservation
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Tous les inventaires
Intitulé de l'instrument de recherche Bibliothèque historique de la Ville de Paris. Collections théâtrales. Inventaire du fonds Raymond Bernard
Cote TFS-012
Titre Fonds Raymond Bernard
Date 1906-1972
Langue français
Importance matérielle 6 boîtes d'archives
Biographie ou histoire Raymond Bernardlien (1891-1977), fils du dramaturge Tristan Bernard, débute sa carrière comme acteur de théâtre en 1911. Après avoir obtenu en 1914 un grand succès en jouant avec Sarah Bernhardt dans une pièce de son père, Jeanne Doré. il se lance dans le cinéma et devient un réalisateur important de l'entre deux guerres. Sa carrière se ralentit après la deuxième guerre mondiale, pendant laquelle il a été contraint de se cacher. Il habite l’appartement familial, 9 rue Edouard Detaille, jusqu’à la mort de sa mère, en 1928. Il épouse le 22 octobre 1940 l'actrice Jeanne Marie Louise Salley, dite Jeanne Marny (1901-1991).
Présentation du contenu

Lettres adressées à Raymond Bernard, essentiellement par des membres de sa famille ou des proches. La majorité de la correspondance émane de la famille de Raymond Bernard, essentiellement de sa mère Suzanne et de son frère Jean-Jacques. De son père Tristan, ne sont conservées ici qu’une ou deux lettres. Parmi les autres correspondants notables, figurent des amis (Léon Deutsch) et surtout des amies, comme Suzanne Marx, ou Marie Samary, sa professeure de théâtre. Deux actrices du cinéma muet, Alexiane et Edith Jehanne, que Raymond Bernard a fait tourner et avec lesquelles il a entretenu une relation amoureuse, tiennent une place à part. Il s’agit donc essentiellement d’un fonds de correspondances d’ordre privé même si les lettres d'actrices font parfois d’intéressantes allusions à des tournages de films d’autres réalisateurs. Quelques documents font exception, comme une lettre passionnante de Charles Dullin à propos du film Le Joueur d’échecs.

La période chronologique couverte s’étend principalement du début des années 1910 au début des années 1930. Un grand nombre de lettres sont échangées pendant la première guerre mondiale. Seul un lot de lettres concernant les frères de Raymond Bernard est postérieur à 1945.

Modalités d'acquisition Mode d'entrée inconnu
Conditions d'accès L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable.
Conditions d'utilisation Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.
Citer sous la forme Bibliothèque historique de la Ville de Paris, [cote]

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Bibliothèque historique de la Ville de Paris, Département des collections théâtrales
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2019
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Notes
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-751045102-6wa
Présentation du contenu
Titre Lettres reçues par Raymond Bernard
Description du contenu
Titre Jehanne, Edith
Biographie ou histoire

Edith Jeanne Cosson (Châteauroux, 9 février 1899 – Saint-Briac, 14 juin 1949), surnommée Brididi ou Brididitte par ses proches, a fait une brève carrière cinématographique sous le nom d’Edith Jehanne. 

Elle débute en 1922 dans Triplepatte, film de Raymond Bernard, et tourne ensuite dans plusieurs films du réalisateur : Le Miracle des loups (1924), Le Joueur d’échecs (1927) et Tarakanova (tourné en 1928-1929, sorti en 1930). Elle apparaît pour la dernière fois en 1930 dans un film de Léonce Perret, Quand nous étions deux.

Sa sœur Elodie Cosson (Châteauroux, 10 mai 1901 – Neuilly, 8 juillet 1954) qui se fait appeler Madeleine, fait également une carrière au cinéma de 1920 à 1925 sous le pseudonyme de Sylvia Grey (ou Sylvia Gray, à ne pas confondre avec l’actrice anglaise du même nom, née en 1866 et morte en 1958). Elle épouse Claude Valéry, fils de Paul Valéry, en 1925.

Deux frères d’Edith et Madeleine sont peintres : Léon Cosson (Châteauroux, 20 novembre 1892 – Paris, 30 mai 1924) et, plus connu, Hélier Cosson (1897-1976).

R. Bernard aurait remarqué E. Jehanne lors du tournage du Secret de Rosette Lambert en 1920, où il avait engagé sa sœur Madeleine (sous le nom de Sylvia Grey). Ils entretiennent une relation amoureuse durant les années vingt. E. Jehanne se marie le 15 décembre 1927 avec Henri Bouyer (1906-1979), directeur d’école dentaire.

Edith a des relations parfois conflictuelles avec sa sœur Madeleine. En 1921, elle se réfugie notamment à Chauvigny auprès de son frère Léon et de sa belle-sœur Germaine Métayer. Les deux sœurs sont assez proches de l’acteur Jules Heitner qui a tourné avec elles

Sources : 

Marc Wallerand, Madeleine Valéry, belle fille de Paul, Valence, Editions et régions, 2020.

Acte de naissance d'Edith Jehanne, Archives départementales de l'Indre, 3 E 044/162 n°49. Acte de naissance de Madeleine Valéry, Archives départementales de l'Indre, 3 E 044/164, n°216. Acte de mariage d'Edith Jehanne, Archives de Paris, registre des mariages du 5e arrt, 05M 279, acte 1391. Acte de mariage de Madeleine Valéry, Archives de Paris, registre des mariages du 16e arrt, 16M 241, acte 1877. Acte de décès de Léon Cosson, Archives de Paris, registre des décès du 13e arrt, 13D 254 acte 2331

Index

Jéhanne, Édith (1899-1949)lien[Auteur]

Catalogue général des manuscrits
Cote :  4-TFS-012-047 Support :  Importance matérielle :  28 feuillets Dimensions  Présentation du contenu : 7 lettres autographes, 10 télégrammes, 1 cartes et 8 enveloppe. Les lettres sont envoyées de Berlin où E. Jehanne est alors sur le tournage du film de Georg Wilhelm Pabst Die Liebe der Jeanne Ney (L'Amour de Jeanne Ney).
Cote 4-TFS-012-047
Titre Avril-août 1927
Date 6 avril 1927 - 22 août 1927
Support
Importance matérielle 28 feuillets
Dimensions
Présentation du contenu 7 lettres autographes, 10 télégrammes, 1 cartes et 8 enveloppe. Les lettres sont envoyées de Berlin où E. Jehanne est alors sur le tournage du film de Georg Wilhelm Pabst Die Liebe der Jeanne Ney (L'Amour de Jeanne Ney).
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