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lettreFragment de lettre autographe à Madame de Grignan

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Modifié le : 24/01/2024

Présentation globale de la collection

Etablissement de conservation
Château de Grignan. Grignan, Drôme Voir tous les inventaires
Tous les inventaires
Intitulé de l'instrument de recherche Achats du Département de la Drôme depuis 1979
Cote 1013-2015.9.1
Titre Achats du Département de la Drôme depuis 1979
Origine
Date Première moitié du XVIIe siècle
Langue français
Support Tout papier
Importance matérielle 63 pièces
Conditions d'accès L'accès aux collections patrimoniales est soumis à une autorisation préalable.
Conditions d'utilisation Toute publication de documents inédits doit être notifiée à l'établissement.
Citer sous la forme Château de Grignan, Achats du Département de la Drôme depuis 1979, Titre du document, cote.

Informations sur l'instrument de recherche

Auteur(s) Château de Grignan
Éditeur Bibliothèque nationale de France
Date de la version électronique 2024
Langue(s) de l'instrument de recherche Catalogue rédigé en français
Permalien https://ccfr.bnf.fr/portailccfr/ark:/16871/005FRCGMNOV-261465101-xK7
Présentation du contenu
Titre Correspondance
Description du contenu
Titre Rabutin-Chantal, Marie delien (1626-1696), marquise de Sévigné
Catalogue général des manuscrits
Cote :  1230 Support :  papier vergé, papier vélin Importance matérielle :  1 Écriture :  Encre brune Dimensions  274 x 202 mm (Avec cadre) ; 228 x 17 mm (Sans cadre) Présentation du contenu : 

Ce fragment d'une lettre de Marie de Rabutin-Chantal (1626-1696), adressée à sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné (1646-1705), comtesse de Grignan, comprend le texte depuis : " Envoyez-le, si vous voulez, à M. Alliot " jusqu'à " Nous attendons pourtant M. de Sainte-Maure ". Madame de Sévigné a alors laissé les Grignan à Paris. Son oncle, l'abbé de Coulanges qu'elle surnomme "le Bien bon", vient de mourir. Souffrante, elle choisit de suivre une cure thermale à Bourbon-l'Archambault, très fréquenté par les grands de la Cour. Madame de Sévigné privilégie ici les réflexions autour de sa santé : sur le déroulement du traitement au détriment de la faculté de penser et sentir. Cette lettre est l'une des rares lettres non disparues de la marquise à sa fille. Le fragment autographe correspond à la lettre n° 981 de l'édition de la Correspondance de Madame de Sévigné par Roger Duchêne, Bibliothèque de La Pléiade, tome III, page 322. Il se compose d'un feuillet de deux pages non chiffrées, chaune comportant respectivement 20 et 22 lignes par pages. Il est placé dans un cadre en papier sur lequel une inscription, reportée ci-dessus, fait office de cerificat d'authenticité.

Date, inscription concernant l'exécutant, inscription concernant la représentation "Madame de Sévigné" / recto, en haut, au crayon / "Je soussigné archiviste-paléographe déclare que les deux pages ci-dessus / sont autographes de la marquise de Sévigné. / Paris, 2 février 1891 / Etienne Charavay"/ à l'encre, sur le cadre papier.

Modalités d’acquisition : Actuel : achat en vente publique : 30 septembre 1989
Cote 1230
Titre lettreFragment de lettre autographe à Madame de Grignan
Date XVIIe siècle
Support papier vergé, papier vélin
Importance matérielle 1
Écriture Encre brune
Dimensions 274 x 202 mm (Avec cadre) ; 228 x 17 mm (Sans cadre)
Présentation du contenu

Ce fragment d'une lettre de Marie de Rabutin-Chantal (1626-1696), adressée à sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné (1646-1705), comtesse de Grignan, comprend le texte depuis : " Envoyez-le, si vous voulez, à M. Alliot " jusqu'à " Nous attendons pourtant M. de Sainte-Maure ". Madame de Sévigné a alors laissé les Grignan à Paris. Son oncle, l'abbé de Coulanges qu'elle surnomme "le Bien bon", vient de mourir. Souffrante, elle choisit de suivre une cure thermale à Bourbon-l'Archambault, très fréquenté par les grands de la Cour. Madame de Sévigné privilégie ici les réflexions autour de sa santé : sur le déroulement du traitement au détriment de la faculté de penser et sentir. Cette lettre est l'une des rares lettres non disparues de la marquise à sa fille. Le fragment autographe correspond à la lettre n° 981 de l'édition de la Correspondance de Madame de Sévigné par Roger Duchêne, Bibliothèque de La Pléiade, tome III, page 322. Il se compose d'un feuillet de deux pages non chiffrées, chaune comportant respectivement 20 et 22 lignes par pages. Il est placé dans un cadre en papier sur lequel une inscription, reportée ci-dessus, fait office de cerificat d'authenticité.

Date, inscription concernant l'exécutant, inscription concernant la représentation "Madame de Sévigné" / recto, en haut, au crayon / "Je soussigné archiviste-paléographe déclare que les deux pages ci-dessus / sont autographes de la marquise de Sévigné. / Paris, 2 février 1891 / Etienne Charavay"/ à l'encre, sur le cadre papier.

Modalités d’acquisition Actuel : achat en vente publique : 30 septembre 1989
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