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Qor'ân écrit par un assez bon calligraphe de Constantinople. La reliure est en peau, à repli, avec dessins sur fond d'or et encadrement. Le verso du fol. 1 contient la Ire sourate (el fâtéhah), en sept lignes, dans une arabesque en or et en couleurs ; le recto du fol. 2 renferme dans une arabesque semblable le commencement, en sept lignes, de la sourate II. Les pages suivantes, avec quinze lignes chacune, sont encadrées dans une bande d'or entourée de deux filets noirs et d'un rouge. Dans un grand nombre de marges, une étoile d'or à six rayons séparés par des pointes en couleur, ornée pardessus et par-dessous d'un dessin à l'encre bleue. Dans diverses marges, les mots :
(groupe de dix versets),
Notice
Qor'ân écrit par un assez bon calligraphe de Constantinople. La reliure est en peau, à repli, avec dessins sur fond d'or et encadrement. Le verso du fol. 1 contient la Ire sourate (el fâtéhah), en sept lignes, dans une arabesque en or et en couleurs ; le recto du fol. 2 renferme dans une arabesque semblable le commencement, en sept lignes, de la sourate II. Les pages suivantes, avec quinze lignes chacune, sont encadrées dans une bande d'or entourée de deux filets noirs et d'un rouge. Dans un grand nombre de marges, une étoile d'or à six rayons séparés par des pointes en couleur, ornée pardessus et par-dessous d'un dessin à l'encre bleue. Dans diverses marges, les mots :
Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France. Départements — Tome XV. Marseille
Cote
1-1656
Titre
Manuscrits de la bibliothèque municipale L'Alcazar de Marseille
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Bibliothèque municipale L'Alcazar de Marseille, Ms. X, fol. Y.
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INTRODUCTION
La Bibliothèque de la ville de Marseille a été formée au moment de la Révolution par la réunion des livres appartenant aux établissements ecclésiastiques qui venaient d'être supprimés.
Antérieurement, il n'y avait aucune bibliothèque publique ; et il est hors de doute que la plus grande partie des livres conservés à Marseille se trouvaient dans les diverses maisons religieuses, alors très nombreuses dans notre ville. On en a la preuve irrécusable dans la provenance, facile encore à constater, des volumes qui constituent le fonds de la Bibliothèque municipale actuelle. Nous n'avons pas à insister là-dessus pour ce qui a rapport aux livres imprimés ; mais pour ce qui concerne les manuscrits que nous avions à étudier, nous avons eu soin de relever dans chacun d'eux les notes et les particularités qui nous apprennent à qui ils ont appartenu, et nous avons indiqué tout ce qui nous en fait connaître l'histoire.
Il y a eu à Marseille, à toutes les époques, des collections de manuscrits, remarquables par leur nombre et par la diversité des auteurs qui y étaient réunis ; on nous permettra, pensonsnous, de signaler ici les principales. Dès le Ve siècle, après que Jean Cassien eut fondé près de notre vieux port la célèbre abbaye de Saint-Victor, il s'y forma une bibliothèque considérable, dont l'existence et le contenu nous sont révélés par un ouvrage contemporain, auquel on n'a pas fait assez d'attention. On ne s'est pas demandé où pouvait se trouver le fonds de livres dont s'est servi Gennade, le prêtre marseillais, pour composer, avant la fin du Ve siècle, son traité de Viris illustribus, la première œuvre d'histoire littéraire écrite en France, la seconde dans l'ordre des temps. A lui seul, le nombre des écrivains dont cet auteur a analysé les ouvrages de manière à montrer qu'il les avait sous les yeux, suffirait pour nous empêcher de croire qu'il ait pu lui-même réunir et posséder tant de précieux manuscrits. Si, d'autre part, on considère que sur les cent personnages dont il nous a fait connaître les productions, presque toutes théologiques, un tiers appartenait à l'Orient ; qu'un bon nombre y figuraient dans leurs langues originales, syriaque ou égyptienne, et que toutes les règles monastiques alors connues font partie des livres mentionnés par lui, on sera forcément amené à une conclusion qui nous semble inéluctable. Une réunion d'ouvrages si spécialement caractérisée n'a pu se trouver à Marseille qu'au monastère de Saint-Victor, fondé par un Oriental qui avait habité l'Égypte et la Syrie, qui en connaissait les langues, et qui, ayant été mêlé aux affaires de l'Église grecque et à la vie des moines de la Thébaïde, avait eu l'occasion de recueillir tant de monuments de la littérature monacale et théologique de l'Orient. Le livre de Gennade nous représente donc la bibliothèque de Saint-Victor au Ve siècle, c'est-à-dire une collection de deux à trois cents ouvrages manuscrits, sans parler de ceux qui n'entraient pas dans son plan.
Ce riche trésor disparut lors de la destruction de l'abbaye par les Sarrasins, et il n'en était rien resté, lorsqu'elle se reconstitua après l'an 1000. A partir de cette époque, un nouveau dépôt de livres commença à se former, et le monastère posséda bientôt une nouvelle bibliothèque, non moins importante que la première. De celle-ci, le catalogue qui en fut fait à la fin du XIIe siècle existe encore ; il a été publié, il y a quelques années, par M. Mortreuil (L'ancienne bibliothèque de l'abbaye de Saint-Victor, par MORTREUIL. Marseille, veuve Marius Olive, 1854, in-8o de 62 pages), qui n'a pas hésité à affirmer que « l'abbaye de Saint-Victor possédait alors une des bibliothèques les plus riches, soit par le nombre, soit par le choix des ouvrages qui s'y trouvaient réunis ». Elle comptait environ trois cents manuscrits, dont la plus grande partie renfermait les œuvres des Pères de l'Église ou des écrivains ecclésiastiques, la Bible, des livres de liturgie et de droit. La littérature classique n'en était pas exclue ; Cicéron, Salluste et César y figuraient, avec Horace, Virgile, Térence, Ovide, Stace. Pour plus de détails, nous renvoyons à la brochure de M. Mortreuil. Par une singulière destinée, il en a été de cette seconde bibliothèque comme de l'autre ; elle a disparu entièrement, sans qu'on puisse indiquer, d'une manière sûre, aucun dépôt public ayant conservé quelques-uns des manuscrits qui en ont fait partie. L'historien Ruffi a écrit que la plupart furent portés en France à la fin du XVIe siècle ; et une pièce de 1591, citée par M. André, atteste qu'à cette dernière date sa dispersion était accomplie.
Moins bien partagée que l'abbaye bénédictine, la cathédrale de Marseille posséda aussi au moyen âge une collection de manuscrits qui constituait comme la bibliothèque de l'évêché, et dont chaque nouvel évêque, après sa prise de possession, passait une reconnaissance à son chapitre. C'est aux divers actes qui furent dressés pour indiquer en quel état le prélat qui entrait en fonction recevait ces livres, que nous devons d'en savoir le nombre et les titres. Celui que souscrivit Guillaume Sudre, en commençant son épiscopat en 1364, nous apprend qu'on ne lui remit pas plus de cinquante manuscrits, presque tous livres liturgiques ou de théologie et de droit. On y voyait cependant une chronique Martinienne, les lettres de Pierre de Blois et un traité d'hippiatrique, de cura equorum. La valeur de ces livres n'échappait à personne ; ils étaient toujours inventoriés avec l'argenterie, les ornements et les pierres précieuses appartenant à l'évêché, et n'étaient livrés qu'avec un procès-verbal en règle.
A côté de ces librairies semi-publiques, qu'il nous soit permis de mentionner ici deux remarquables collections qu'avaient formées à Marseille, au XVe siècle, deux simples particuliers, dont l'un précisément était moine de Saint-Victor, et l'autre membre du chapitre cathédral. Le premier, Jean de Vitroles, personnage très considérable dans son Ordre et docteur en droit, avait été d'abord recteur du collège de Saint-Germain à Montpellier. En 1413, il se démit de cette charge, pour occuper une chaire de droit à l'Université d'Aix. Prieur de Romette, il devint vicaire capitulaire de son abbaye après la mort de Pierre Flamenqui ; et quand il mourut lui-même, à la fin de 1432, on fit l'inventaire de sa bibliothèque, qui nous a été conservé. Il possédait cent quarante et un manuscrits, non compris un certain nombre d'autres qu'il avait prêtés, et qui n'ont pu par conséquent être portés sur la liste. Comme on doit s'y attendre, cette liste est surtout remplie de livres de droit, et l'ancien professeur s'y révèle avec ses goûts et ses préférences de juriste. Mais nous pouvons assurer que toutes les branches de la science y sont représentées, et qu'avec des ouvrages religieux et historiques, il s'y trouve aussi divers traités de philosophie et plusieurs livres de médecine. Pétrarque et Boccace y figurent également, et nous croyons pouvoir extraire et citer de cette pièce les passages qui se rapportent à ces deux écrivains (« Item liber rerum familiarium venerabilis Francisci Petrache, poete laureati, scriptus in pargameno. — Item, liber virorum illustrium Francisci Petrache, in pargameno. — Item, liber Petrache, in pargameno. — Item, quidam liber intitulatus Johannes Bogacii de Certaudo, scriptus in papiro. »).
La bibliothèque de Bérenger de la Roche, chanoine et sacriste de la cathédrale de Marseille, devait égaler celle de Jean de Vitroles. Son testament, du 17 avril 1492, nous fait connaître par leurs titres soixante-dix manuscrits qui en faisaient partie ; et comme, en léguant tous les autres en bloc à son neveu, sans les désigner en détail, il affirme lui avoir déjà donné plus de trente volumes, on peut se faire une idée assez juste de ses richesses bibliographiques. Ici encore, les livres de jurisprudence abondent ; car Bérenger de la Roche, lui aussi, avait été docteur en droit et grand vicaire de Jean Alardeau, évêque de Marseille. On ne sera donc point étonné qu'il y eût chez lui, avec le Corps du droit, les commentaires du Panormitain, de Barthole, de Calderini, de l'Archidiacre, de Jean de Saint-Géminien, la Somme Pisanelle, celle du cardinal d'Ostie, et d'autres célébrités de cette espèce. Mais il avait des livres d'un autre genre : l'Histoire naturelle de Pline, l'Abrégé de Trogue-Pompée, par Justin, l'Histoire de Jacques de Vitry, Pierre le Mangeur, la Cité de Dieu de S. Augustin, les Épîtres de S. Jérôme, les Morales de S. Grégoire, Lactance, S. Thomas, Alexandre de Alès, S. Bonaventure, etc.
De ces nombreux manuscrits qui, à diverses époques, se sont trouvés réunis dans notre ville, à l'évêché, à Saint-Victor, ou chez des particuliers, il ne nous semble pas qu'aucun soit venu à la Bibliothèque municipale de Marseille. Quand celle-ci fut formée, les collections que nous venons de passer en revue n'existaient plus depuis longtemps, et dans le fonds actuel, nous ne croyons pas qu'il fût possible de signaler un seul article qui en provienne, et que l'on pût identifier d'une manière certaine avec quelqu'un des livres portés aux inventaires précédemment cités. La provenance de nos manuscrits est tout autre ; elle est bien connue, et rien n'est plus aisé que de dire d'où ils viennent, pour la très grande majorité.
Ce sont ceux qui, à la fin du dernier siècle, étaient disséminés dans les couvents et les maisons ecclésiastiques de Marseille et du département. En supprimant ces établissements en 1790, on réunit leurs livres, dans l'intention de les vendre ; mais bientôt l'idée prévalut d'en former une Bibliothèque publique, qui serait ouverte à tous, et mettrait à la disposition des personnes studieuses des instruments de travail nombreux et choisis. Telle est l'origine de la Bibliothèque de la ville de Marseille, dont le fonds des livres imprimés s'accroît annuellement au moyen des sommes allouées par le Conseil municipal, tandis que le fonds des manuscrits est resté, à peu de chose près, ce qu'il était au début. Il comprend surtout les livres recueillis chez les Augustins, les Dominicains, les Franciscains, les Minimes, les Trinitaires, les Chartreux, à l'Oratoire, au Bon Pasteur, etc. Ajoutons, pour être complet, qu'un nombre considérable de manuscrits nous est venu du grand séminaire d'Aix, dont la bibliothèque avait été formée par deux des derniers archevêques. Nous indiquons à la table qui suit les numéros que chacun de ces établissements a fournis.
Disons dès maintenant que la portion la plus considérable et la plus importante de ces livres est celle qui vient de la Chartreuse de Marseille ; et comme cette maison ne remontait qu'au milieu du XVIIe siècle, c'est à la Chartreuse de Villeneuve près d'Avignon, sa fondatrice, qu'ont appartenu primitivement presque tous les manuscrits que la ville a eus des Chartreux. Ils forment à eux seuls la majorité des manuscrits anciens et sur vélin de la Bibliothèque, et attestent avec quelle générosité la vieille Chartreuse qui fonda la nôtre, avait traité sa fille. Cette double provenance est presque toujours attestée sur les livres qui ont cette origine, par une double inscription : « Carthusia Massiliensis », et « Carthusia Vallis benedictionis ».
Quel fut, au commencement, le nombre des manuscrits recueillis dans notre Bibliothèque municipale, et sauvés ainsi de la destruction ? Nous pourrions le dire, si nous avions retrouvé le catalogue qui en fut dressé par le premier bibliothécaire, Claude-François Achard, catalogue de l'existence duquel nous avons une preuve certaine. C'est une bande de papier collée sur la garde de chaque manuscrit, faisant saillie au dehors, et portant un numéro d'ordre progressif, qui nous apprend qu'ils furent classés sans subdivisions, et soumis à une numérotation continue de 1 à 1000 et au delà. Cette classification est antérieure à celle qui a été en usage jusqu'à nos jours, dans laquelle les volumes sont partagés en six classes et portent une lettre et un numéro. A défaut du catalogue primitif, que nous avons vainement cherché, on peut affirmer sûrement que les manuscrits étaient au nombre de plus de mille, soit parce que les chiffres de 900 et de 1000 se voient encore sur quelques-unes des bandes attenantes aux volumes, soit parce qu'un récolement, qui en fut fait en 1819, en fit trouver alors 1270 (Répertoire de la Société de statistique de Marseille, t. I, p. 487).
Peu de temps après cette dernière date, M. Jauffret, successeur de M. Achard, fit un nouvel inventaire de nos manuscrits, et en rédigea le catalogue qui existe encore. Il les avait d'abord divisés en six séries distinctes, marquées chacune d'une lettre, dans l'ordre suivant :
A. Histoire.
B. Sciences et arts.
C. Belles-lettres.
D. Jurisprudence.
E. Théologie.
F. Mélanges.
A une époque assez récente, une septième série fut ajoutée aux précédentes, et réunit sous la lettre grecque Φ les ouvrages relatifs à la Provence ; addition mal conçue, car la plupart de ces ouvrages sont restés confondus dans les autres séries, dont on n'a pas pris la peine de les extraire, dont on n'aurait pu les sortir sans tout bouleverser. Enfin, dans chaque série, les manuscrits étaient partagés, selon leur taille, en deux divisions distinguées par les lettres a et b ajoutées à la lettre de série, a désignant les grands formats, b les petits. Un numéro d'ordre, recommençant à chaque subdivision, complétait tout le système.
Le nouvel inventaire classe tous nos manuscrits, sans aucune division, d'après l'ordre communément adopté, qui est celui de Brunet ; il suffit d'un peu de réflexion pour connaître où finit une série et où commence la suivante. Une seule suite de chiffres leur a été appliquée, et chaque volume ayant reçu un numéro, il en résulte, tout compte fait, que la Bibliothèque de Marseille offre aux travailleurs une collection manuscrite composée de 1656 articles. Tous n'ont pas la même valeur ; mais il en est dans tous les genres qui sont dignes d'attirer l'attention des personnes studieuses, à qui ils réservent d'agréables surprises, comme ils nous en ont procuré à nous-même. C'est un fonds qui ne peut que gagner à être mieux connu. nous espérons qu'en mettant en relief nos principaux manuscrits, en faisant saillir, par une fidèle analyse et une description exacte, ce qu'ils contiennent de particulier et ce qui les distingue, nous aurons réussi peut-être à attirer sur eux les regards des connaisseurs (Une liste des manuscrits de Marseille a paru dans l'Inventaire sommaire de M. Ulysse ROBERT, p. 375-417. — La lettre R, suivie d'un nombre, indique le numéro que porte chaque manuscrit dans cet Inventaire).
La notice du manuscrit hébreu no 1626 a été rédigée par M. Weyl, grand rabbin de Marseille ; celles des manuscrits orientaux sont de M. Sauvaire, correspondant de l'Institut, pour les nos 1627-1648, et de M. Houdas, professeur à l'École des langues orientales vivantes, pour les suivants.
Voici la table de provenance d'une très grande partie de nos manuscrits :
Oratoire de Notre-Dame des Anges, 30 à 32, 69, 70, 71, 201 à 204, 236, 301, 420, 476, 515, 517, 518, 522, 530, 689, 719, 726, 818, 819, 886, 1114, 1276.
Picpus (Religieux) de Marseille, 207, 967, 1349.
Récollets d'Aix, 384, 846, 852, 1032.
Récollets d'Arles, 705.
Séminaire (Grand) d'Aix, 61, 101, 159, 175 à 178, 186, 190, 224, 245, 294 à 298, 319 à 322, 325, 329, 338, 353 à 358, 364, 370, 375, 376, 386, 469, 498, 514, 543, 550, 680, 681, 683, 684, 688, 693 à 695, 697, 738, 811, 812, 828, 831, 853, 871, 896, 902, 906, 931, 1152 à 1155, 1255, 1280, 1281, 1357. — Les numéros 101, 190, 543, 683, 688, 694, 697, 738, 1152, 1153, 1155, avaient appartenu à M. de la Frezelière, évêque de la Rochelle.
Servites de Marseille, 1220.
Trinitaires d'Aix, 421, 422, 1218.
Trinitaires de Marseille, 1206 à 1217.
Visitation d'Aix, 452, 1229.
Visitation de Marseille, 493, 494, 1228, 1239.
Il ne serait peut-être pas sans utilité, pour l'histoire de nos manuscrits, de réunir ici les renseignements qu'ils nous fournissent sur leur origine et leurs anciennes appartenances ; mais comme nous avons soigneusement relevé et noté pour chacun les particularités que nous y avons remarquées sous ce rapport, nous nous bornerons à signaler, comme spécimens, une dizaine d'entre eux.
224. Manuscrit portant les armes des Borgia, écrit à Rome dans la seconde moitié du XVesiècle.
240. Manuscrit du XIIIe siècle, qui de la Chartreuse des Ecouges est venu échouer à Marseille.
389. Codex ayant appartenu à Saint-Martin de Trèves, et daté de 1407.
390. Recueil de récits historiques dont se servait, au XVe siècle, le chapelain de l'église de Gras, dans le Vivarais.
399. Collection de sermons italiens, transcrite en 1521, dans le couvent de Sainte-Catherine de Formello, à Naples.
402. Carême du P. François Amet, mis au net par lui au couvent des Petits-Pères du Rouet, près Marseille.
731. Traité de morale de Philippe de Bergame, copié à Courthaison par Claude Raynaud, en 1474.
874-374. Cours de philosophie aristotélicienne et de théologie morale, enseignés à Huesca, en Espagne.
1016. Le Grécisme d'Ebrard de Béthune ayant appartenu aux Pontevès de Saint-Maximin.
La table générale qui termine le volume, a été dressée par M. Ernest Coyecque, archiviste aux Archives de la Seine.
Auteur(s)
Albanès
Commanditaire
Ministère chargé de la Culture et Ministère chargé de l'Enseignement supérieur
Éditeur
Bibliothèque nationale de France
Date de l'édition imprimée
1892
Date de la version électronique
1 décembre 2007
Création
Créé par conversion rétrospective de l'édition imprimée : Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France. Départements — Tome XV. Marseille. Par l'Abbé Albanès, Paris, Plon-Nourrit, 1892. Numérisation et rendu en mode texte réalisés par la société AIS (Paris, France). Encodage effectué selon la DTD EAD-2002 par la société ArchProteus (Vancouver, Canada) le 1 décembre 2007