1871 - 1947
Description du contenu
Le fonds comprend des documents sur la littérature et le folklore provençaux.
Il est principalement constitué de photocopies et d'articles de presse.
Langue(s)
Occitan (après 1500)
,
Français
Thèmes principaux
390 Coutumes.
840 Littératures des langues romanes (Littérature française, ...).
Lieu(x) géographique(s)
Cannes.
Type(s) de documents
Textes manuscrits
.
Recueils
.
Accès et catalogues
Conditions d'accès
Fonds librement communicable
Possibilités de reproduction
La reproduction des documents appartenant ou conservés aux Archives communales de Cannes donne lieu à la perception d’un droit de reproduction.
Catalogue(s) en ligne
Sur le site des Archives municipales de Cannes
Historique et constitution
Historique
Victor Tuby (1888-1945) naît le 8 juin 1888 au Château de la Fouery, à Cannes La Bocca. Bachelier, il part à Paris, suit des cours à l’École des Beaux-arts, étudie le droit et passe sa licence en droit. Il revient grièvement blessé de la guerre de 1914-1918, avec le grade de capitaine et la Légion d’honneur. Sculpteur, il crée des monuments aux morts (Saint-Raphaël, Sainte-Maxime, le Cannet, d’Allos, La Bocca et le monument du Souvenir français au cimetière du Grand Jas à Cannes), le monument du général Allard et celui du centenaire de Frédéric Mistral inauguré le 6 avril 1930 à Saint-Tropez.
Il fonde en 1919 l’Académie Provençale de Cannes « destinée à retrouver les us et coutumes, restituer les vieilles danses et les anciennes fêtes ». En 1930, Il fonde au Moulin Forville une école félibréenne l'Estello de Lerin et édite un journal Lou Rampéu. Poète, musicien, sculpteur, peintre, humaniste, il consacra sa vie à la cause provençale et figure parmi les principaux artisans de la « renaissance mistralienne ». On lui doit l’édition du centenaire du dictionnaire Lou tresor dóu Felibrige qui paraît en 1932 chez Delagrave.
Il fonde en 1919 l’Académie Provençale de Cannes « destinée à retrouver les us et coutumes, restituer les vieilles danses et les anciennes fêtes ». En 1930, Il fonde au Moulin Forville une école félibréenne l'Estello de Lerin et édite un journal Lou Rampéu. Poète, musicien, sculpteur, peintre, humaniste, il consacra sa vie à la cause provençale et figure parmi les principaux artisans de la « renaissance mistralienne ». On lui doit l’édition du centenaire du dictionnaire Lou tresor dóu Felibrige qui paraît en 1932 chez Delagrave.
Acquisition
Don(s)
Etat du traitement
Inventorié
Etat d'accroissement
Fonds clos
Fonds liés
hors Répertoire
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Archives municipales de Cannes. Fonds de l'Escolo de Lérins.
