Réserve précieuse

Fonds ancien

Estampes

Archives

Partitions

Tous textes imprimés

Textes manuscrits

Musique

Médecine

Arts

Histoire

Agriculture

Religion

Voyages

Botanique

Monographies : 2221 volume(s)

Partitions : 16 volume(s)

Textes manuscrits : 383 volume(s)

1401-1500 : 4 volume(s)

1501-1600 : 106 volume(s)

1601-1700 : 329 volume(s)

1701-1800 : 886 volume(s)

1801-1900 : 395 volume(s)

1901-2000 : 198 volume(s)

français : 1499 volume(s)

latin : 204 volume(s)

italien : 33 volume(s)

anglais : 14 volume(s)

allemand : 13 volume(s)

espagnol (ou castillan) : 6 volume(s)

Catalogué

Antoine Torrens

Elle fut créée par le Comte de Marsy dans la seconde moitié du XIXème siècle et abrite les livres les plus précieux : volumes provenant de l’ancienne Abbaye Saint-Corneille, titres issus d’autres communautés monastiques saisis pendant la Révolution, envois de l’Etat tout au long du XIXème siècle, grands dons comme celui d’Antoine Vivenel ou acquisitions précieuses comme la série de manuscrits de Jean Antoine François Léré.

Tout comme le Fonds Léré, qu’il complète, le fonds unique de manuscrits est une source d’informations considérables pour la connaissance de Compiègne et de sa région. Un grand nombre de manuscrits sont entrés par voie du don, notamment de la famille Vivenel, et illustre la place privilégiée prise par la Bibliothèque au sein de la communauté de chercheurs qui se sont succédés au cours des siècles.

Sa numérisation permet d’en révéler l’ampleur et la richesse ; la diversité des thèmes locaux abordés et l’importance des illustrations confèrent en outre à cet ensemble une attractivité propre à séduire aussi bien les chercheurs que le large public.

Les documents vont du XIIème au XXème siècle.

Compte tenu de l’état de conservation de certains documents ou de leur intérêt scientifique, une majorité d’entre eux n’ont pas été comptabilisé dans les opérations de numérisation. Dans un premier temps, soixante -cinq cotes ont été traitées. Le choix a été fait de donner aux lecteurs un contenu pratique d’accès et non une multitude de documents. Ces documents comprennent à la fois des textes manuscrits écrits à la plume et quelques illustrations diverses.

Trois manuscrits très précieux sont enluminés.

Base patrimoine : CO1

Catalogues papiers pour les Manuscrits et les SHC.Présents sur CCFR.

Catalogue en ligne des bibiothèque de Compiègne : voir le catalogue

Base patrimoine voir le catalogue

Michel Foubert

Jacques Philippot

Alfred Ternisien

Arthur de Marsy

Albert Robida

Mr Leveau

Amédée de Pommery

Pierre Sauvage

Peigné-Delacourt

Abbé Auger

Empereur

Jean Baptiste Lalondrelle

Comte de Marsy

Abbaye Saint-Corneille

Joséphine de Beauharnais, Impératrice

Antoine Vivenel, architecte

Abbaye Saint-Corneille

Michel Foubert (Don(s))

Jacques Philippot (Don(s)) : Jacques Philippot donna à la bibliothèque de Compiègne plusieurs de ses photographies.

Alfred Ternisien (Don(s))

Arthur de Marsy (Legs)

Albert Robida (Don(s))

Mr Leveau (Don(s))

Amédée de Pommery (Don(s))

Pierre Sauvage (Legs)

Peigné-Delacourt (Don(s))

Abbé Auger (Legs)

Empereur (Don(s))

Jean Baptiste Lalondrelle (Legs) : Jean Baptiste Lalondrelle légua à la bibliothèque de Compiègne en 1820, la collection de son frère, Claude, ancien bénédictin de Saint-Corneille et principal du collège. Parmi cette collection se trouvaient des ouvrages issus de la bibliothèque de l'Abbaye de Saint-Corneille qui retrouvèrent ainsi leur juste place.

Antoine Vivenel (Don(s)) : Antoine Vivenel : Architecte et collectionneur, Antoine Vivenel est le fondateur du musée du même nom de la ville de Compiègne. Il fit don, de son vivant, en 1840 de 465 volumes de sa collection personnelle dont l’édition de Kehl des « Œuvres complètes » de Voltaire en 72 volumes (1785-1789) somptueusement reliés que possédait Joséphine à la Malmaison.

Jean Antoine François Léré (Don(s)) : Léré : Ruiné en 1823 et abandonné par sa famille, Jean Antoine François Léré (1761-1837), membre de la Société d’histoire naturelle et de plusieurs autres société savantes, fut accueilli à l’hôpital général où il poursuivit ses nombreuses recherches sur la ville de Compiègne et plus généralement sur l’Oise. Puis, en 1836, malade, il offrit tout ce qui lui restait (herbier, planche de dessin, plan, échantillons, etc…) à la ville de Compiègne contre une pension viagère de 20 Francs par mois. Il mourut un an plus tard.

Henri Hoffmann (Don(s)) : Hoffman : ce fonds fut donné à la Ville de Compiègne en 1897.